Alors que la personne face à Ipomoea sort une arbalète, elle lance un sort qui le fusionne partiellement avec le mur. Alors qu'elle s'approche, elle se rend compte qu'il est mort : il était déjà blessé avant. Sous la capuche, un visage écorché. Elle fouille le corps. La capuche comporte des enchantements, qui permettent de masquer le visage entièrement. Dans une petite poche, elle trouve de la poudre bleue.

De notre coté, dans la salle, sur la gauche une statue d'un homme à tête d'oiseau, qui porte une cape de plume colorée, qui tient dans ses mains une tornade en verre. A droite, une statue de femme, les bras au dessus de la tête, qui tient une spirale plate de pierre. IL y a aussi deux déchirures de la réalité, avec des traces de griffes au sol qui semblent indiquer que quelque chose est sorti par une faille et rentrée dans l'autre. On entends des petits tintements qui semblent venir du passage au nord est. Il y a un trou carré au centre de la spirale de pierre. Dans la tornade de verre il n'y a pas de trou. Sur le sol, en demi cercle autours de l'homme oiseau, il y a des griffures assez fines sur le sol. Je laisse une marque au sol pour Ipomoea, et on file au nord est.

Dans cette salle, il y a plein de grands arbres de bronze, qui occupent tout l'espace. Sur ces arbres, des feuilles de bronze corrodées, couleur vert de gris. Elles frémissent à l'unisson. ça rappelle les feuilles du labyrinthe aux miroirs. Avielo identifie les arbres comme des chênes. Je décide de m'enfoncer entre les arbres, en surveillant les feuilles, qui semble frémir quand on approche. On parvient sans encombre au sud est de la salle. La porte comporte le verrou à rouleau habituel.

Au centre de la salle suivante, un grand arbre de fer noir épineux, avec des corps noirs desséchés empalés dessus, et des os anciens étalés en dessous. Le coin sud est de la salle a l'air abimé par des fissures dans le mur. On longe les murs pour rejoindre le sud. De son coté, Ipomoea parcours les couloirs. Elle y entends une voix grave et gargouillante au loin, et elle suit ses couloirs pour essayer d'en savoir plus. Elle arrive dans un espace plus large, sous un ensemble de plaques et de trappes.

Quand on pousse la porte de la salle, on entends un bruit de verre brisé, et une odeur de résine et de vieux bois. on entends des bruits de chaine qui semblent bouger rapidement. Quand la porte fini de s'ouvrir, on voit un bucher de rondin de bois empilés au centre de la salle, sur lesquels sont monté un grand tronc d'arbre, avec des chaines reliés au coin de la salle. Celles ci sont reliées à des poids qui sont tombés à notre entrée, faisant tourner le tronc central et allumant le brasier. Autours, il y a 4 jarres de porcelaine. Il y a également une déchirure dimensionnelle à droite de la salle, dont quelque chose semble être sorti pour partir à l'est. Les jarres étant proches du brasier, je crains qu'elle n'éclatent sous la chaleur, donc je tire la jarre la plus proche à l'écart. Epic fait de même avec une autre jarre, mais sans succès, Avielo s'en sort mieux. Des jarres qui sont restées proches du brasier, une épaisse fumée noir sort pour se rassembler au plafond. Elle aune odeur de souffre assez poignante. Le brasier est parti pour durer des heures, donc on se rue à l'est, alors que la fumée prends plus de consistance au plafond.

On arrive devant des marches, qui descendent. Les murs de l'escalier sont en sale état, les pierres se déchaussent. On arrive dans une salle triangulaire. Le sol a l'air d'être maculé de cristaux noirs. Il y a un énorme crâne cristallin au milieu de la pièce, et une femme de porcelaine est assise dessus. C'est peut être un genre de golem, mais très délicat. La porcelaine est peinte de motifs fleuraux bleus. Il lui manque un pied. Elle tient à la main une épée de céramique, qui semble moulée à la main, mais n'est plus attachée à son corps : l'épée est plantée dans le crane, la main toujours attachée. La femme céramique est fissurée de partout, et porte autours du cou une grosse clef rouge. Le crâne est gigantesque, il y a encore un bout de colonne vertébrale attachée. Il semble de la même matière que les éclats au sol. Je pose un pieds sur les cristaux, qui ne cassent pas sous mon poids. La femme de porcelaine tourne son regard dans ma direction. Elle s'adresse à moi en haut archaïque, me demandant de ne pas aller au sud, elle est là pour empêcher les gens de s'en approcher. Elle s'appelle bleuet. Elle est prête à laisser sa vie pour qu'on ne s'approche pas de la porte. Cette porte est grosse et en métal, avec la gravure d'une personne à genoux, l'épée plantée dans le sol. Une voix plus grave provient du crane de cristal, disant qu'elle n'a plus assez de raison pour nous répondre. Le crâne dit s'appeler Uzzuh-ka. Il dit bien connaitre les lieux. Il nous informe qu'il était plutôt sympa de son vivant. Il est arrivé là via des failles dimensionnelles. Il nous dit que le sarcophage était juste derrière la porte au sud. Il venait pour libérer ses amis, des gens qui auraient été enfermés injustement. Je demande s'ils savent ce qu'il se passerait si coeur brisé retournait dans le torse de la reine de feu : elle reprendrait vie et tyranniserait les alentours. Les amis du crâne étaient a priori des prisonniers de guerre. Il veut pas tellement nous donner d'autres réponses si on l'aide pas, mais nous conseille d'aller tout au nord du complexe pour en savoir plus. On décide de remonter par l'autre escalier.

On se retrouve face à une porte de céramique qui a l'air assez lourde. Des lames sortent du sol, et il y a un arbre au métal au sol. Les lames sont acérées et font une trentaine de cm, elles semblent réparties de manière aléatoire. L'arbre de métal n'a de branches qu'a son sommet, qui s'étendent comme une ombrelle. il y a une odeur acide dans l'air plutôt désagréable. Dans la porte en céramique qu'on vient de franchir, il y a une lanterne incrustée. On entame une progression lente et précautionneuse vers le nord. La porte est en céramique également. Quand on l'ouvre, celle à l'est s'ouvre également : les deux mécanismes semblent liés. Quand elle se referme derrière nous, elle semble s'être verrouillée.

Dans cette nouvelle salle, il y a des déchirures dimensionnelles. Dans chaque coins, une grosse coquille d'escargot. Sur les trois coquilles, il y a des petits éventails de pierre noire. Chacune des coquille est gribouillée avec des petites lignes faisant des spirales, peut être des poèmes dans une langue inconnue, tout le long de la coquille. De petites gouttes noires tombent des éventails et tombent ans les coquilles, dont l'ouverture est tournée vers le haut. Il y a également un petit courant d'air froid. Le mur nord ouest est en sale état, mais on s'y dirige.

On arrive dans une salle dans laquelle les murs et le plafond sont couvert de vigne et de rose en cuivre. Au sol, un dallage de 64 triangles. J'appuie sur une dalle de la pointe de mon épée : elle ne s'enfonce pas. Je commence à aller vers le nord, et une dalle réagit soudain en surgissant d'un coup : si je ne m'étais pas reculé à temps, elle m'aurait projeté sur les épines au plafond. On avance donc avec précautions, en testant chaque dalle avant d'avancer. On entends soudain une déflagration alors que le mur est de la salle s'effondre. (c'est Ipomoea qui a déclenché une explosion dans la pièce avec l'arbre de fer et les couteaux). Juste après l'explosion, on entends un cri et une bordée de jurons dans une langue inconnue, qui vient de l'est. On fait demi tour pour se diriger vers le cri. Dans la salle aux escargots, ils se sont renversés, et leur contenu s'est renversé au sol. ça fait une tâche d'ombre huileuse et noire, qui coule en direction de l'est et du sud. je teste l'ombre de la pointe de mon épée, et elle s'enfonce comme s'il n'y avait plus de sol en dessus. En la sortant, il manque la pointe, mais l'ombre de l'épée semble solide. Avielo approche sa pomme de pin lumineuse de l'ombre : ça semble l'assécher et libérer le sol. On va utiliser cette technique pour se frayer un passage. On fini par arriver à la porte à l'est, dont on saisi la combinaison pour l'ouvrir.

On voit un brouillard d'ombre qui se répand au sol. ça se condense sur les murs. Au centre de la salle, il y a 4 gros anneaux d'obsidienne, empilés verticalement, flottant magiquement, et tournant alternativement dans un sens et dans l'autre. Il y a des runes et des glyphes partout sur les anneaux. Ils bougent lentement. Au centre des anneaux, il y a un bâton noir qui flotte. Il semble fait d'os, comme une sorte de sceptre. On entends du bruit qui vient du nord, et le bruit de piolets de métal contre la pierre derrière nous. Je m'approche des anneaux pour lire les glyphes : ça semble parler d'ombre. Retirer le bâton stopperait le processus magique en place. ça semble définir une zone d'ombre assez large. Peut être un sort d'occlusion. Après en avoir discuté avec les autres, j'essaye de saisir le sceptre. Aussitôt, les anneaux s'effondrent. Le choc des anneaux fait mal, mais je garde le bâton. Les ombres s'évaporent. Le bâton s'adapte à ma taille, et à l'air fort magique. Je fais une nouvelle marque au sol, et on poursuit vers l'est.

On arrive dans une nouvelle pièce dont les murs sont couverts de miroir en obsidienne; Sur un mur, une psyché ovale en obsidienne. l n'y a qu'une seule sortie, au sud. Dans la psyché, ma réflexion est un peu plus lente que moi. Des fissures extrêmement fines parcourent le miroir. Comme il n'y a pas d'autres passages au nord, on revient dans la salle aux 4 anneaux pour remonter. ça nous inquiète de pas retrouver Ipomoea. Alors qu'on sort de la pièce, Avielo se fait attaquer par une lame d'obsidienne. Une forme humanoïde faite de plein de petit miroir est sorti de la psyché pour nous attaquer. Avielo se replie, pendant qu'Epic et moi allons engager la créature. La créature rentre dans un miroir et disparait. On se recule avec précaution, jusqu'à refermer la poste. La créature ne réapparait pas. On décide d'aller chercher Ipomoea. On retourne dans la salle aux trois escargot, les ténèbres ont disparues et les éventails se sont brisés. On retourne à la salle au dallage en triangle pour aller prendre la porte à l'ouest, en sondant chaque dalle pour être sûr. On se retrouve devant la salle de métal noir : empalée sur une des branches, il y a le type à la baguette d'abeille. Son sang coule sur les os en dessous de lui. Je m'approche doucement de l'arbre pur voir si les branches bougent : elles restent immobiles. On descend au sud pour aller jeter un coup d'œil au brasier. Les 4 jarres sont ouvertes et vide. le feu est toujours en train de bruler. La fumée au plafond est toujours épaisse et serpentiforme : ça forme un visage qui fond vers nous. On se replie. A peine la porte fermée, elle se rouvre, et on sent une odeur d'œuf pourri qui s'engouffre dans le couloir. On se rue vers la forêt de bronze. Il y a des traces de sang au sol, et sur les feuilles il y a du sang. On traverse la forêt précautionneusement et sans encombres. une fois dans la salle de la statue à tête d'oiseau, on descend au sud, pour retrouver les galeries piégées. On y trouve le cadavre d'un agent de la martel, fusionné avec le mur. On charge aviélo de trouver des traces.

On se retrouve sous la salle avec les dalles en triangle, avec un couloir qui part à l'est et un au sud. A priori Ipomoea est parti des deux cotés. On essaye de crier pour voir si elle nous réponds. Pas de réponse. On part au sud, et on arrive à un croisement. Il semble voir une lumière, rapidement offusquée par de la fumée et une odeur d'œuf pourri. On fait demi tour pour repartir vers le nord est, suivre les autres traces d'Ipomoea. On arrive sous une autre salle qui a l'air piégée, avec des lames qui sortent du sol.

Du sang semble coule depuis la salle. Derrière la trappe, on se retrouve pris dans des soieries noires. Je les découpe. La pièce est recouverte de rideaux et de soies pourrissantes noires. Il y a le cadavre d'un babouin, tranché en deux par une lame. ça va être difficile d'avancer dans cette salle, avec les pièges cachés par les soies. Une voie très grave et gargouillante, mais indiscernable, semble venir de l'est. On revient en arrière, pour prendre le tunnel de maintenance vers le sud. On arrive à une intersection. Devant, une porte dérobée.

En suivant les traces, on prends la porte dérobée, et on arrive dans la salle de bleuet, et Uzzuh-ka. Il nous dit avoir envoyé Ipomoea à l'est. On monte les marches : il y a eu de sacrés dégâts en haut des marches, les murs sont noircis, et il semble que quelqu'un ait été pris dans l'explosion. Juste derrière la porte, il y a le corps d'Ipomoea. Elle a été poignardé aux niveaux des omoplates, et semble avoir perdu conscience. Je la soigne (et moi aussi par la même occasion), mais elle ne se réveille pas. Et quelques petites claques ne donnent rien. J'essaye de voir si elle a été corrompue, ce n'est pas le cas. Mais Avielo et Epic sont toujours corrompus, eux. Je détecte aussi une créature corrompue au sous sol, dans la salle du crâne, mais également une à l'est. On va donc à l'est, je porte Ipomoea et Epic ouvre la marche. La deuxième porte qui mène à la salle de l'est a une grosse serrure rouge, composée de trois ouvertures. On décide de contourner. On repasse à coté des escargots, puis des anneaux, et la salle des miroirs.

On y progresse dos à dos pour éviter les agressions, et aller a la pièce au sud. Avielo ouvre la porte, révélant un spectacle peu réjouissant. Un babouin s'est fait écraser par une portion du mur, qui semble s'être repliée sur lui. Le couloir est clairement piégé. Il y a un accès à un tunnel de maintenance, Avielo s'y engouffre pour désamorcer les pièges. Epic, qui surveille la salle au miroir, voit la porte à l'ouest s'ouvrir et Avielo le salue. Puis il repart. Il nous dit que les pièges sont désactivés, on va ouvrir la porte suivante.

On arrive dans une nouvelle salle, couverte d'étagères. Sur les murs, il y a plein de petit bocaux de pierre. Sur les étagères au milieu, des rangs d'amphores de pierres, assez grandes pour contenir une personne. Elles ont l'air d'être scellée à la cire, et une est en train de finir de durcir. Les étagères n'ont pas l'air très solides. Je pose Ipomoea au sol, et je vais ouvrir l'amphore pas encore scellée. Ipomoea ouvre soudainement les yeux.