On entre dans cette salle, ou la grosse machine semble etre fait de gros cercle de metal ou son montée des lentilles, la plupart cassée. Il y a deux anneaux de métal, un avec des lentilles, l'autre avec des fentes. La source de lumière est au milieu des anneaux. Les trois figures colorées se sont tournée vers nous alors qu'on entrait. Elles bougent de façon saccadée, une femme apparait dans une lueur assez bleue, elle porte une épée au coté. Elle est devnt la machine, la main sur la garde son épée, et nous lance un regard mauvais; Elle est un peu transparente. Sur notre droite, une dame dans des lueurs rouge or, elle porte sur la tête une crète qui ressemble à des flemmes. Elle al'air inquiète. Sur notre gauche, un rapace d'1m20, transparent également, la patte gauche levée en l'air, et nous regarde de manière étonnée. Personne n'émet le moindre son mais la machine fait beaucoup de bruit. Je salue : la dame bleue a l'air prête à tirer son épe. La dame rouge s'approche dans note direction, l'oiseau sautille en silence, mais semble répondre à mes salutations. L'oiseau semble m'inviter à faire le tour de la pièce; Avielo l'identifie comme un messager Sagittaire. Je montre à la femme bleue qu'on a pas d'intention belliqueuse. La femme rouge tends sa main vers mon visage je mets ma main dans la sienne. Je sens un frémissement, et elle recule vivement sa main comme si elle subissait une vive douleur. Sa main semble clignoter, pui selle disparait. On essaye de communiquer avec la femme bleue : elle désigne la machine derrière elle. Ipomoea détecte que la machine est magique : il semble également y avoir une magie des ombres puissantes mais diffuse autours de nous. Seules trois lentilles ont l'air encore intactes : une grise, une rouge et une bleue. L'oiseau ayant disparu derrièe la machine, je le suis pour voir : la femme rouge dorée est réapparu dans un coin, et s'approche de moi, je la mets en garde. Derrière la machine, sur le mur ouest, il y a un pan de mur qui a l'air plus pâle, il y a peut être un passage derrière cet endroit. IL y a une fresque, en pigment rouge, qui représente la foudre et le tonnerre. Je demande à la femme si elle sait à quoi sert la machine : elle désigne la source de luière, puis les lentilles, puis elle. La garde bleue clignote et disparait. J'essaye d'interroger la femme en rouge et or : ce n'était pas des humains, elle fait des signes de flamme, je propose effrit mais ellee st pas sûre. Il y avait l'air d'y avoir 7 lentilles. Je lui demande, mais ce n'est pas cliar. L'oiseau a disparu aussi : a priori, les crochets au plafond on bougé depuis el temps, et la macheine est un peu désaxée. Tant qu'ellle est en mouvement, c'est compliqué à réparer. Ipomea décide de rentrer dans la lumière. On voit une image vacillante d'Ipomoea qui apparait dans un des cercles des coins de la pièce. L'oiseau apparait de nouveau. On essaye de faire entre la dame rouge dans la lumière : elle clignote puis disparait. On est un peu perplexe, on décide de reprendre notre exploration, en tentant a travers le mur ouest. Je pousse sur le mur, qui pivote : c'est assez dur à pousser, car il y a une statue de l'autre coté. Sur le mur nord, il y a une grande paire de porte au milieu d'une fresque héroique. Au sud, deux portes de pierre avec un sqeuelette donc la t^te et les bras sont pris dans un tunner à droite des portes. Il y a deux statutes :celle qu'on vient de bouger, qui représente un homme avec un mohawk et un masque qui lui couvre la moitié du visage et une écharpe de plume, deux épées et une armures d'écailles. il a aussi un marte de combat à la main. La deuxième statue représente une personne androgyne habillée avec un pantalon large, peut être un danseur ou une danseuse, avec un long manteau et un fouet de chaine à 7 pointes, avec des dreadlocks. La fresque héroique met en avant une femme serpent en armure qui porte une couronne avec plein de joyaux, qui combat une armée de créature du néant. Elle porte dans une main une épée courte et de l'autre elle projette des jets de flamme. Au premier plan, les ennemis, des créatures du néant avec es cristaux de glace, les créatures prennent la forme d'animaux sauvage menançant. En arrière plan, l'armée de la reine, plein d'hommes serpents en armure azure et aux armes étranges, sur une plage. IL y a levé de soleil en fond, des éclairs viennent pourfendre les créatures du néant. Le squelette semble avoir été pris dans un effondrement de tunnel, il y a une pioche et une lampe à coté. Il a l'air elfique. Les porte à son coté sontfermée par une barre de pierre, et un système de contrepoids devait permette de fermer la porte à retardement. Avec Epic, on soulève la lourde barre de pierre : les porte s'entrevourent : derrière il ya de la terre, reste d'un ancien éboulement. On va tester les portes au nord : il y a un petit couloir, ainsi qu'une autre porte. On essaye de la pousser, mais ça bloque. En forçant un peu, on arrive à voir de grosses racines de vignesel qui bloquent le passage. Du coup, on revient vers les statues : il y a également un passage derrière la statue de gauche, dont je trouve l'ouverture avec les pointes du fouet. Dans cette salle en piteux état, il y a une machine étrange. Tout a l'air d'avoir été déangé, a priori le paresseux géant est passé par là. La machine semble avoir un auqarium, relié à une turbine, relié à une chaudière de machine à vapeur, relié à d'autres aquarium aux parois épaisses. IL y a une route centrale sur laquelle sont attachée des pinces de crabe. L'utilité n'apparait pas clairement. Les murs de cette pièce comportent des fresques rouges qui représentent des nuages et du vent, des spirales, des foret renversées par des ouragans, des tornades. IL y a un passage à l'ouest, qui a l'air d'avoir été bien abimé par le passage du paresseux. IL y a aussi un passage au sud, ou il y a un trou qui mène aux galeries du paresseux. Il nous semble voir du mouvement à l'ouest dans le tunnel, on va voir. On arrive dans une pièce dévastée : le paresseux est passé par là. Il y a une table fracassé, e la table partout au sol, des éclats de verres. IL y a une silhouette dans cette salle : un espèce d'automate qui bouge avec des bruits de craquement et de machine, qui a l'air d'être fait de cuivre corrodé. Il semble danser avec des mouvements saccadés. IL y a plein de tout petit chevaliers, plusieurs centaines, certains sont bleus, d'autres rouges. Ils sont immobiles. IL ya une sortie au nord, avec une combinaison à rouleau, une à l'ouest, creusée par le paresseux. Je ramasse un chevalier : il est articulé, mais si je bouge un membre il revient dans sa position initiale. Ipomoea regarde l'automate : ce n'était pas de la grosse qualité, me^me l'époque. IL semble alimenté à l'énergie des éclairs. Il semble venir de l'ouest. On tente la combinaison habituelle sur la porte au nord. La porte se déverouille. La pièce comporte 6 gros réservoirs. 5 d'entre exu ont explosés. Le plafond est fracturé, et un pic de pierre le traverse. Le mur ouest et le coin nord sont fragilisés. Les portes qu'on vient de franchir sont tordues, comme s'il y avait eu une explosion. La salle semble sur le point de s'effondrer. Ipomoea reconnait que les réservoirs servaient à stocker des choses à haute pression. iL y a un couloir à l'est et à l'ouest, mais celles ci semblent bloquées suite à l'explosion. Il semble y avoir des choses métaliques dans les réservoirs. IL y a un trou au plafond qui mène au champ de bataille au milieu de la pièce. Les pièces de métal dans les réservoirs ressemblent à des arrêtes de poisson, mais métallique. Le métal est assez lourd. ça fait la taille d'une main si toute les arrête d'un réservoir sont rassemblée, mais ça pèse bien 6Kg. Il nous semble voir du mouvement du coin de l'oeil : des fantômes de poisson très transluscide semblent flotter dans l'air. Le réservoir encore intacte est corrodé et déformé. IL y aune écoutille dessus. Certains sont pour qu'on l'ouvre, mais on décdie d'attendre. On va à l'est. Les portes ont été soufflées par l'explosion. Dans cette salle, pas mal de vignesel. Navidrodine est dans la salle également, et des bruits de goutte qui tombe au sol. Le plafond est sur le point de rompre. Par les fentes au plafond, du sang coule et absorbé par la vignesel. Le sang semble dissoudre la vignesel, affaliblissant encore plus la salle. Navirodine nous demande d'ou vient le sang. Je lui explique, elle est un peu peu inuiète. Elle nous dit que le passage au nord mène aux étages inférieur. On reivent donc sur nos pas pour aller plus à l'ouest. On arrive dans une salle dont le plafond est ouvert par une explosion d'acide. IL y a une porte au nord à rouleau, un couloir q ui mène à l'ouest. Une grand fissure traverse le sol, sur lequel est représenté une carte du complexe. La carte est très abimée par le sang, l'acide et la boue. Le complexe est triangulaire, avec des pièces triangulaires. IL y a un trou au plafond qui mène au champ de bataille au sud de la salle. Quand on entre, on voit un mouvement à l'ouest, comme si quelqu'un venait de s'enfuir. On court à sa suite. On arrive dans un e pièce avec une grand cage en os, avec un félin à tête e jeune femme dessus. IL y a des amphores dans les coins de la pièce, et l'homme paniqué s'est caché derrière l'une d'elle. Des petites étincelles bleues jaillissent de la créature, qui s'étire comme si elle se réveillait. L'homme nous dit qu'on ne trouverons jamais son convoi secret. IL ne s'agit pas de Matthias. La créature se met alors à parler : elle dit qu'elle a fait s'effondrer des royaume, et qu'elle a batti celui ci. AUtour de son cou, la créature porte une clef rouge, comme celle que porte Navidorine. Elle saute au sol, et dit qu'on peut l'appeler Coeur Brisé. J'essaye de discuter avec l'homme, qui est pas clair. Il insiste sur le fait qu'on trouvera jamais son convoi. Il a également une baguette d'abeille. Coeur brisé vient se frotter à ma jambe, puis essaye e me mordiller. L'homme fini par dire qu'il était le chef des babouins intelligents, celui qui venait vendre les automates plein d'acide. Il prends la fuite devant Coeur Brisé. Celui ci nous demande de l'aide : il voudrait dormir, et veut qu'on le mène à son lit. Il est dans un sarcophage. Ipomoea s'intéresse à la cage en os : elle est sculptée finement, et fermée par un simple loquet. Ce sont des os humains, ou humanoides et des os reptiliens ou ophidiens. La cage est ouverte, et vide. Les trois vases dans les coins sont remplis d'encens allumé Coeur brisé était a priori enfermé dans la cage. La clef autours de son cou ouvre le chemin vers les lieux les mieux gardés. Le lit de Coeur Brisé est a priori dans la cage thoracique de la reine de feu. On revient à la salle de la carte, et on essaye de se repérer. Ipomoea pense qu'il y a un triangle central, accessible à l'étage inférieur. On décide de partir au nord. On entends des bruits qui viennent du nord, des bruits de course, des grognement, la voix d'un homme sui s'éloigne qui dit qu'il a pas fait exprès. On se dépèche d'entrer. Dans cette salle, les murs sont couverts de bois noir gravé. Il y a deux statues devant chaque mur. Il y a une porte à combinaison ouverte à l'ouest, on voit deux personnes qui courent. Une ogresse avec une machette poursuit un manchot (l'animal) avc un bandana et une jambe de bois. Je me rue à leur poursuite en leur criant de s'arrêter. L'ogresse s'arrête. Elle nous demane si on a vu matthias, et je lui dis qu'une de ses collègues est vivante là haut. Elle dit que le chef des manchots a tué une de ses soeurs, et elle reprends sa course. On décide de ne pas les poursuivre, et on s'intéresse au statues; Celle du sud représentent deux humains aux cheveux de feu en armure complète, qui portent un marteau de combat. Ils ont la tête baissée, comme en signe de respect. Ils font face aux gravures du mur sud. A gauche de la porte, elles représentent une femme serpent porté par un cortège d'homme serpemtn. Marchent derrière eux deux humanoides. A droite de la porte, le corps de cette femme serpent, posé sur une table, sa cage thoracique est ouverte, et un homme pendu au plafond aux mains en crochet lui retire son coeur en feu, et une cage en os est non loin. Sur le mur ouest, les deux statues représentent des personnes androgynes aux armures léfères qui portent des chaines cloutées de combat. Sur la fresque de gauche, il y a une femme serpent couronnée qui attrappe les mains de deux petits enfants. Autours d'eux, il y a des hommes serpents consumés par les flammes. Au dessus de la scène, un serpent à plume dans le ciel. A droite de la porte, un homme en armure avec un mohawk de flammes, il tient dans ses bras un bébé à tete de serpent. Il a l'air de se tenir au calme au milieu d'une scène de combat. Sur le mur est, partiellement abimé, il y a deux femmes qui portent des brigandines et appuyées sur des épées cloutées . La fesque de gauche représente une reine serpent sur un promontoir rocheux et qui tends une épée par dessus la porte. Dans le ciel derrière elle un serpent à plume. A droite de la porte c'est lendroit le plus abimé. Il y a des bouts de plumes à droite et à gauche. En rassemblant les bouts de bois au sol, ça représente le sertpent à plume mais de plus près. Il est gigantesque, et semble rentrer dans un batiment qui dépasse au dessus de la jungle et semble s'y lover. Coeur Brisé pointe le coeur enflammé sur la fresque et dit que c'est elle. Elle dit que c'est Réductance, la forme avec des crochets à la place des pieds et des mains, qui l'a retirée. Coeur brisé commence alors à marcher sur le mur, avec autant de facilité que si c'était le sol. Elle dit qu'elle était enfermé dans la cage, et un gentil jeune homme l'a libéré : aspergé de sang avec un grand manteau rouge, plutot paniqué. Il serait parti à l'ouest. On revient dans la salle de la cage, et on part vers l'ouest. Coeur brisé se téléporte un peu plus loin. L'odeur de l'encens semble nous clarifier l'esprit. On passe la porte ouest. La salle dans laquelle on arrive ressemble à un jardin, dans lequel il y a deux grands arbres. Un de fer aux ffruits d'argent, un en bronze plein d'épines. Au centre de la salle et dans chaque coin, il y ades fleurs métalliques qui brillent à la lueur de notre pomme de pin. IL y a un couloir au nord, et un couloir penhé à l'ouest. Le mur est très abimé, surement à cause du paresseux. Le mur nord est couvert de rhododendrons de métal avec de grosses fleurs pendantes, et des fleurs passent au travers du passage. Il y a des traces de brulé autours, ainsi qu'une odeur de cochon grillé. Des abeilles en céramique sculptées sont posées sur certaines fleurs. A l'ouest, il y a des vignes, la partie contre le mur a été sculptées avec plein de petites fleurs. A l'est, c'est plutot des herbes en aciers. Il y a des poils de singe avec des traces de sang dessus. Avielo nous signale que les plantes de métales représentent des plantes rares et exotiques. Certaines rappellent des plantes de l'ile thermale. AU pieds des arbres il y a des buissons d'acier et de verre. L'arbre de fer est plus grand, jusqu'au plafond. Les feuilles ont l'air très tranchantes. L'arbre de bronze ressemble à une sorte de cactus. On décide d'aller au nord, les traces de brulés semblant les plus récentes. Je m'approche, et je passe sans soucis. Alors qu'Ipomoea passe, un piège se déclence, crachant des flammes. Elle se téléporte de justesse. Epic et Avielo passent en se baissant, sans soucis. La salle au nord comporte trois grandes bannières avec des hiéroglyphes changeants. Ils nous rappellent ceux des ruines des anciens sur l'île thermale. Une des bannières a été arrachée récemment. Le coin au nord de la pièce est abimé. Il y a quelques abeilles qui volettent dans la pièce. IL y a une silhouette affaissée dans le couloir à l'est, Ipomoea va voir. IL y a beaucoup d'abeile dans le couloir, qui volettent autours du cadavre du manchot, qui a eu la tête fracturée à coupd e machette. Dans la salle à l'est, la porte sur le mur nord a été défoncée. peut être pas l'ogresse. Dans la salle, il y a un autel 'ou viennent des étincelles électriques. Le sol est couvert d'une terre étrange. Il y a des silhoeuttes humanoides. ça a l'air d'être un groupe de statues, qui semblent creuses. Elles sont cinq, faites de bronze, de fer et d'acier. Sur l'autel au milieu, il y a un levier en bois. Les étincelles viennent d'une des anodes qui sortent sous le levier. Il a l'air bloqué par la terre. Dans la terre, Avielo repère les traces du combat de l'ogresse, et aussi des traces de bottes qui partent vers le nord. On décide donc de filer au nord. Alors qu'on entre dans la salle, on entends le buirt d'une porte à verrou en train de se fermer à l'est. L'ogresse semble avoir défoncé le mur pour rejoindre les tunnels, au sud est. Dans cette salle sont suspendus 6 grand tableaux. ils représenent des choses en train de bruler figées dans le temps. En bas à gauche, dans le sens horaire : Le tableau est instable, le mur étant abimé. Ce sont des fougères en train de bruler. Les flammes sont bleues, et forment un paysage dans lequel on voit une grande plage qui donne sur la jungle. Il y a des hommes serpents avec de grandes robes qui passent entre les arbres avec de manigifiques jardins luxuriantà coté de la plage. Le suivant, ce sont des fragments d'eau en train de bruler, qui forent une scène de bataille. Une femme serpent porte un sabre et combat et logues créatures serpentiformes intégralement noires qui sont représentées par le vide entre les flammes du tableau. Le suivant, il y a un portrait fait de noeuds et de cordages enflammés. ça forme l'image d'une femme serpent qui porte une couronne de bois incrustée de joyaux. Derrière elle, le visage d'un gigantesque serpent à plume. Le suivant, il y a de la poudre de métal en train de bruler, qui fait un feu bleuté représentant un homme, entre 20 et 30 ans, coiffée avec une crète mohawk enflammée qui porte un masque qui couvre une partie de son visage. Il a l'air ddistrait. Sur le suivant, un feu rouge fait de cheveux en train de bruler. Représente un danseur ou une danseuse en train de faire un saut, les pieds nus, avec des dreadlocks et une chaine qui tournoie autours d'iel. Le dernier tableau, ce sont des morceaux de charbons taillés en pyramide qui brulent, qui peint une jungle. Au milieu de cette jungle, il y a un passage vers un autre paysage, dans un feu jaune plus clair, qui représente une grande ville à l'architexture recherchée avec des cascadres de feu et de flammes formés par des braseros. Devant l'ouverture vers la ville, dans la jungle, une personne agnouillée avec une épée plantée dans le sol. On monte au nord est, là ou la porte vient de se refermer. Quand on entre dans le couloir, il nous semble entendre des bruits métallique, comme un petit carillon. Le sol de cette salle est couvrert d'une fine couche de cendre. La salle ressemble à un long couloir qu s'étend vers la droite et vers la gauche. Ce mur face à nous est fait de miroir. Les miroirs sont assez sales. Quelque chose brille dans le coin au nord ouest, un objet en cuivre. ça ressemble à une feuille d'arbre. Au nord il ne semble pas y avoir de passage. Dans le coin sud, il y a une section qui pivote. Alors qu'Ipomoea touche la feuille de cuivre, plein d'autre feuilles arrivent et forment le visage d'une femme encapuchonnée. Elle murmure “adorateur du néant” et se rue sur Ipomoea. on passe la porte secrète, et on la referme avant que les feuilles ne passent. On teste les murs pour savoir ou on peut passer. Une lame jailli soudain du sol. Elle se lève jusqu'au plafond, coupant le couloir en deux. Mais j'ai trouvé un passage à l'ouest, qui mène au centre de la pièce. De l'autre coté, Epic se bat contre la femme feuille et la repousse, puis arrache les dalles du sol poru voir comment fonctionnent les pièges. Je me soigne et regarde le milieu de la pièce. Un tas de cendre semble s'y être accumulé. Des lames ont été relevées à d'autres endroits. Je repère des fentes dans le sol, permettant à d'autres lames de jaillir. Ipomoea se glisse dans des conduites sous le sol, et lui permet d'accéder aux mécanisme des pièges. Elle trouve un bout d'étoffe. On prends le temps de désactiver les pièges et de trouver les passages secrets. Ipomoea rejoint le nord est depuis le tunnel de maintenance, nous autres allons au nord. Elle tombe sur une silhouette encapuchonnée, avec un masque miroir sur le visage. Dans cette pièces, il y a deux failles de la réalité, une qui ressemble à une entrée, et l'autre à une sortie, et une statie d'un homme à tête d'oiseau, et uen statue de femme.