103-05-10 06h00

• Artefactus

Pendant la semaine, d'autres aventuriers ont ramené des automates d'arfent désactivés Ceux ci sont transféré vers port Espadon, après avoir été démonté Il a beaucoup plu, et l'île a repris son rôle de marais. il y a des nuits, et des animaux se son réveillés. On retourne voir la Reine, pour récupérer le détecteur. Par contre, Ipomoea a construit Artefactus, un construct de près de 900 Kg, qui complexifie particulièrement les déplacements Il y a beaucoup plus de vie qu'auparavant dans les marais. En particulier des moustiques.

103-05-10 12h00

• Reine Swurmp (Swurmp)

Sur le trajet, on repère un trou d'eau qui génère de gros bouillonnement, alors que la masure de la reine est visible au loin on regarde voir ce qu'il y a au fond du trou. Cela dit, on y voit rien avec les bulles et la vase, et le trou est trop grand pour qu'on tente quoique ce soit, donc on reprend notre route. De nombreuses grenouilles croassent, en harmonie. La Reine a créé les baguettes de détection. Elle nous mène à l'intérieur pour nous montrer : c'est une baguette de sourcier, avec un amas de boue et de métal en forme de spiral dessus. En tenant une extrémité dans chaque main, cela pointe vers la cellule la plus proche. Elle nous informe également qu'elle fait ses bagages pour retourner au village des Swurmp. On l'aide à faire ses bagages, il y a aura un concert de grenouilles et un spectacle de lucioles, on pourra passer la nuit ici pendant qu'elle partira le lendemain matin. On profite de la soirée pour tester les baguettes, qui marchent bien. Et au petit matin, la reine s'en va. On est le 11 pluviose 103.. En début d'après midi, la baguette commence à pointer dans une autre direction. Elle pointe également légèrement vers le bas On se met donc en route, en suivant la direction pointée par la baguette.

103-05-11 20h00

• Bandit mutant ×3

On est aux environs du fort des bandit quand le crépuscule tombe. Il nous semble entendre des petites voix sifflante derrière une digue sur notre gauche. Avielo part en éclaireur : il y a trois bandits, d'après leurs habits, et ils ont des têtes de serpent. Ils semblent se disputer. A priori ils sont pas pleinement satisfaits du mutagène pris du bateau qu'ils viennent de tester. On décide de s'annoncer. Ils nous parlent du seigneur local, qui s'appelle le seigneur Aubin. Du moins c'était le seigneur local avant que ça deviennent une île. Ils sont aussi revenu à leurs anciennes activité : voler les gens. J'essaye de les convaincre de se ranger, mais ils sont très méfiants envers les aventuriers qui ont tendance à tuer tout le monde et se baladent avec plein de sel. On essaye de négocier notre tranquillité pour la nuit, mais leur prix est exorbitant : on décide de continuer à marcher dans la nuit pour aller se reposer plus loin.

103-05-12 02h00

• Chauve-souris vampire ×10

Avielo entends que quelque chose nous tourne autours, dans les airs C'est une dizaine de formes, qui ressemble à des chauves souris. Avielo essaye de les effrayer avec une pomme de pin explosive, mais ça semble plutôt les enrager et elles passent à l'attaque. Elles nous mettent en sale état, mais on els mets en fuites On arrive à se replier jusqu'à la grotte que j'avais creusé dans le piton, où on lèche nos blessures. Il est 10h quand on se lève. la baguette de détection pointe en dessous de nous. On descend vers les tunnels pour évaluer le niveau de l'eau. Arrivé dans la fosse boueuse, on entends l'eau qui commencer à gronder derrière nous

103-05-12 12h00

On s'encorde pour essayer de rester dans cette salle le temps que le niveau de l'eau redescende Au bout de deux bonnes heures assez angoissantes, l'eau commence à redescendre. On va jusqu'à la salle du grand vaseux pour voir comment la baguette se déplace. Manifestement, c'est plutôt sous la fosse qu'il y a la cellule, on reviens sur nos pas. On entends un cri lointain, apporté par l'écho des galeries, a priori humain. On commence à creuser dans la fosse boueuse. Ipomoea nous fabrique des pelles de fortunes et on commence à creuser, déposant la boue sur le bord. Après deux bonnes heures à creuser, la boue devient un peu plus sèche, et on arrive sur un bouchon de branche, de gravats et de débris. Je commence à taillader dedans à la hache pour essayer de dégager un passage. Au bout de quelques heures de travail, le passage est débouché. Il y a un trou d'une dizaine de mètres avant que le boyau ne s'incline un peu, je descend en premier à l'aide d'une corde. On fini par arriver au dessus d'une petite grotte, avec des reflets métalliques en dessous. Il semble y avoir un archéo immobile en dessous de nous, ainsi qu'un gros tunnel sur un des murs et un petit tunnel à coté de l'archéo, puis un dernier en face de nous. Je descend dans la salle, l'archéo semble avoir des plumes multicolores. Le niveau de l'eau commence à remonter. La baguette pointe vers un mur, mais des bulles remontent du petit tunnel à coté de l'archéo On prends le gros tunnel, qui est le seul à remonter, mais on arrive devant un siphon, inondé. On essaye de l'emprunter, sans trop savoir si on va réussir à sortir. Mais on fini par refaire surface, juste à temps pour Ipomoea.

103-05-13 00h00

On est dans un petit couloir. Derrière, l'eau ne monte plus, et le couloir mène à une caverne à quelques pas de là. Je vais jeter un coup d'œil ça semble être plus élaboré, les murs sont fait de boue renforcé de support en bois tout autours de la salle. La salle est circulaire et fait une dizaine de mètres de diamètres. Au sol, il y a une sorte de parquet, avec par endroit des trous circulaires remplis d'eau claire. Au milieu, un cube de bois sur lequel traine une paire de bottes, plutôt petites. Elles sont faites dans un matériaux gris, et parcourue d'arabesques qui semblent bouger. Je demande à Ipomoea de détecter la magie ; il y a les botes, et un panneau de bois à l'arrière de la pièce ou est gravé une sorte de portail. Je vais la positionner face au portail, qu'elle puisse suivre les gravure des doigts dans le noir, voir si ça lui dit quelque chose. Les runes lui rappelle celle qui ont servi à contacter le plan de la vase. Je prends les bottes : le cube de vois qui était en dessous se transforme en eau. Je les enfile, elles serrent un peu. Je me dirige vers le portail. Je mets la botte dans un dans trou d'eau : elle se change en bois. Quand je relève le pieds, l'eau reprend sa forme. Je remets les bottes magique dans mon sac, elles font mal aux pieds. On décide de faire un petit somme avant de retourner explorer. On fait des tours de comptage de temps pour essayer de savoir combien de temps on se repose. On repart dans le siphon, en espérant que le bon temps est écoulé.

103-05-13 08h00

Dans mon sac, je sens les bottes former du bois, mais j'arrive à passer le siphon quand même. On emprunte le petit tunnel qui descend juste à coté de l'Archéo. On arrive dans une nouvelle salle, dans laquelle on arrive par le plafond. Il y a deux petits couloirs qui s'en éloigne. Les murs semblent être fait en lave durcie. La baguette semble indiquer plus un couloir que l'autre, par contre dans l'autre il semble y avoir un squelette de poisson gigantesque. On prends la direction supposée de la cellule. On arrive dans une salle toute petite, le tunnel arrive par un des murs, et il y a un trou en bas et un en haut. La baguette semble hésiter entrebas et haut. On remonte, et on emprunte le tunnel avec le squelette. ça mène à un cul de sac, les murs son de nouveau de la boue. Le squelette ressemble à celui d'un grand vaseux, en plus petit, avec des mâchoires partout, et il est pris dans la boue. Ipomoea me conseille de prendre quelques arêtes, qui pourraient servir. On retourne ensuite dans le premier couloir, et on essaye de descendre. on commence à entendre des gargouillis lointains. On arrive dans une immense salle, de 20m de haut, pleine de stalagmites. On arrive par le plafond. Je descend, rappelé par les autres. L'écho y est très fort. a une vingtaine de mètres de là, il semble y avoir un tunnel qui descend. J'arrive au sol, et je me rapproche des murs pour voir s'il y a un passage, et il y a en effet un tunnel sur l bord de la salle, dans la direction ou pointe la baguette. Je remonte, fixe un piton pour qu'on puisse descendre tous les trois. On laisse les cordes ici et on poursuit notre exploration Le tunnel descend en pente douce et est assez large. On arrive dans une salle de taille moyenne dans laquelle le mur et le sol on l'air poreux, mais des pentes douces remontent en face vers le mur, direction dans laquelle pointe la baguette, et il y a aussi un passage dans le haut de la salle. On remonte la pente douce et on emprunte le tunnel devant nous, alors que le grondement de l'eau se fait plus insistant et se rapproche. On se retrouve sur une corniche, dans une salle cylindrique d'une dizaine de mètres de diamètres. Il y a un passage 5 mètres plus bas, et sur le mur opposé, 3m plus bas il y a le cylindre d'Arfent. Les pommes de pins magiques d'Avielo faisant de la lumière, Ipomoea bricole de quoi en fixer une sur mon casque. A l'aide des pitons et de la corde, j'escalade jusqu'à éclairer assez le cylindre, pour qu'Ipomoea le téléporte jusqu'à elle. Elle le récupère dans sa main gantée. Je fais le trajet du retour, récupérant mes pitons au passage. J'entends un grondement d'eau qui provient du tunnel d'où on est venu. Je reviens jusqu'à la corniche, et ferme le tunnel par lequel on est venu, laissant juste un petit trou pour voir quand l'eau a reflué. De l'eau fini par arriver par en bas également, mais ça ne remonte pas jusqu'à nous, mais la pression augmente, ce qui n'est pas agréable. 2h se passent, sous la même pression. 2h après, la pression commence à redescendre. et le jet fini par s'arrêter, et l'eau est redescendue dans la cheminée. On reprends le tunnel jusqu'à la première salle, avec les pentes. On va ensuite dans la salle aux stalactites et stalagmites. On reprends nos cordes et on continue notre ascension jusqu'à la salle de l'Archéo. On remonte jusqu'à la fosse boueuse, pour voir ce qu'il en est. Elle est de nouveau bouchée. On retourne donc à la salle des bottes

103-05-14 00h00

Je manque de me noyer en passant le siphon, mais on est dans la salle des bottes. Le bois ne semble pas avoir poussé sur un arbre, il est linéaire et sans nœud. Avec la lumière des pommes de pin, on voit à travers les trou d'eau clair : il semble y avoir une salle inondée en dessous. A l'aide d'un lest, d'une corde et d'une pomme de pin, on illumine la salle : sur le fond de la salle, il semble y avoir des dessins similaires à ceux de la porte en bois. Ipomoea dépose son équipement, on l'encore et elle plonge pour explorer. Le portail comporte des runes qui le lient au plan élémentaire de l'eau, et un mot de passe est nécessaire pour l'activer. Elle remarque sous le plancher en remontant : ici, mélézine et Torrentio se sont aimé. Au moment ou Ipomoea nous répète l'instruction, le portail vers le plan du bois semble s'activer. Une espèce de petit couloir avec des murs en bois qui forment des motifs, des arabesques et des dessins apparait. Ipomoea souhaite y aller, on la suit. On fini par arriver dans une salle plus grande, qui forme un immense dodécaèdre. Sur le bas, une espèce de sculpture de bois, qui représente un gros oursin fait de pleins de bois différent. Un escalier autours descend en colimaçon, et il y a d'autres couloirs sur les autres faces à notre niveau Au dessus de chaque couloir, une inscriptions on va lire les inscriptions. nos pas résonnent dans la grande salle, et le sol semble frémir sous nos pas. Les inscriptions disent “grande Pinède, Ligniville, la transition salée” Le couloir d'où on vient est annoté “Couloir de service” Sous l'oursin, il est écrit “en commémoration des évènements de 2047” On retourne dans la salle des bottes pour se reposer.