Session 27
| Dates | 103-04-27 – 103-04-28 |
|---|---|
| Lieux | Marécageuse |
| PJ | Epic, Skold, Ipomoea, Avielo |
| PNJ | |
| Séance précédente | Session 26 |
| Séance suivante | Session 28 |
Espace métaphorique du Grand Vaseux
Deux autres couloirs partent de cette pièce, au nord et à l'est. On décide de partir vers l'est. On arrive à un embranchement, avec à droite des marches qui descendent vers ce qui doit être vers une grande salle, et tout droit une pièce avec des champignons ou des bulbes sur le sol. On emprunte les escalier, jusqu'à une salle avec un pont de pierre qui traverse un grand gouffre. Posé sur ce pont, une statue qui représente une espèce de lamproie, toute noire. Elle doit faire 5 ou 6m de haut Ipomoea s'approche pour essayer de faire une détection de la magie, mais alors qu'elle approche la statue s'anime Ses bouches de lamproie se mettent à claquer, la statue se contorsionne, et elle se mets à hurler très fort des propos inintelligibles On se recule de quelques pas, et la statue s'arrête de bouger et de hurler. Cela semble avoir créé de l'agitation en bas du gouffre; On décide de courir pour passer le plus rapidement possible devant la statue, pour atteindre les marches au bout du pont. Dans le gouffre, on entends plus de bruit qui vient du gouffre, comme si des choses commençaient à grimper. On arrive dans un couloir beaucoup plus large, sur notre gauche, un nid de corde comme celui qu'on a vu précédemment, d'où s'élèvent des petits gémissements. Au niveau du croisement devant nous, il semble y avoir comme une aurore boréale bleutée qui flotte dans l'air. Ipomoea crie un bonjour, la forme bleutée s'arrête un moment puis reprends son déplacement lent. Alors qu'elle s'approche, la forme semble être une lamproie fantomatique qui peint des espèces de spirales sur le mort. Je lui parle en haut archaïque, elle me fait un geste obscène et disparait dans une multitude de gouttelettes bleues. On reprends notre route, dans le premier chemin à droite. C'est un couloir qui descend lentement, avec des alcôves sur les cotés. Au bout d'un moment, il s'ouvre et le sol semble devenir plus vaporeux, et le couloir semble se poursuivre et se dissoudre dans une grande brume marron. l'air se fait plus épais, on peut presque nager dedans. On fait demi tour par précaution, et de retour au croisement le fantôme est réapparu On l'ignore, on prends à droite. De petits escaliers étroits montent, et un grand couloir part à l'est vers un autre croisement. Il y a l'air d'y avoir pas mal de champignons là bas. On emprunte le couloir large, pour voir ce qu'il y a dans une petite alcôve. Les murs y sont assez sale, et il semble y avoir de vieille peinture noire, effritées avec le temps, qui ressemble aux symboles que dessinait le fantôme. l'ensemble forme un paysage de façon plutôt abstraite, qui forme un marécage avec des arbres avec de grandes racines. Ipomoea émet l'hypothèse que les champignons pourraient être la manifestation de la corruption du grand vaseux. On contourne les champignons vers le sud est, pour aller observer d'autres alcôves. Dedans, des stalactites et des stalagmites semblent former comme une dentition, et la pierre au sol est très rugueuse. les autres alcôves semblent similaires : elles nous font penser à la représentation des bouches de lamproie du grand vaseux. le couloir fini par se dissoudre dans une brume grise argentée, et on entends une faible musique qui semble en provenir, comme une harpe jouée lentement Epic nous dit que ça pourrai être de la brume astrale, et que c'est très dangereux. On rebrousse chemin une nouvelle fois pour prendre au nord est, qui est un grand couloir qui cette fois ci se dissout dans un déluge d'octarine, avec des éclairs de magie un peu partout. En chemin, un petit passage mène vers le nord, donc on fait demi tour pour l'emprunter. On arrive dans une salle un peu plus large, ou il y a un grand dôme en sorte de cristal. Dedans, une image, qui représente la petite grotte qu'on s'était creusé et on on avait fait le rituel. Un tube à coté monte jusqu'au plafond dans laquelle on voit une brute vaseuse qui a l'air en souffrance. Avielo toque sur le tuyau, mais ça a l'air de l'énerver encore plus. La brute porte des marques de corruption. On discute un peu sur l'allégorie avec un œil, savoir si on est dans le Quimbois ou le grand vaseux, puis on reprend notre route. On débouche dans une vaste salle, on se trouve une grande quantité de coquilles d'œufs, toutes ouvertes. Sur les murs, des textes défilent rapidement. Une excroissance au milieu éjecte du mucus et des œufs encore fermés. Le texte qui défile sur les murs et en haut Archaïque. Et Ipomoea l'identifie comme notre poème. Ipomoea s'approche pour regarder un œuf : ça pourrait être un œuf de vaseux, en tout cas c'est un œuf d'amphibien. Epic essaye d'ouvrir un œuf, en le coupant en deux, ce qui envoie du mucus partout autours. Des lettres en jaillissent et fusent vers les murs : c'est une autre ligne du poème. On pense qu'on est dans le cerveau : on prends les escaliers qui montent au nord ouest, pour voir si ça mènerait vers un œil. On débouche dans une immense salle, au sol très encombré par des sortes de mues, de serpents, grenouilles, poissons, salamandres, insectes, humaines, pellicule de boue comme celles d'un swurmp. Plusieurs passages partent de la salle, 4 autres, plutôt étroits. On pense être dans l'estomac : on décide de fouiller un peu. Sous les mues, il y a des symboles noirs de la corruption, qui s'attaquent au mues par le bas, et qui couvrent l'ensemble de la pièce. Epic souhaite qu'on aille au chemin le plus à l'est. Par contre, dès qu'on marche sur le sol, les symboles noirs s'agitent. Epic nous signale que la corruption du grand Vaseux a commencé quand il a mangé Loathe, qui était corrompu, donc ça serait logique que l'estomac soit le plus corrompu. Epic essaye de sauter de rocher en mue, et alors que je prie pour l'aider, les symboles noirs s'éloignent. Avielo et moi nous mettons donc à prier pour accompagner nos compagnons jusqu'au petit chemin escarpé. Les mues ont l'air en moins bon état ici, plus fines et plus asséchées, et elle semble aspirées dans ce petit tunnel. On arrive à grand gouffre, qui fait quand même très fortement penser à un anus. Le centre est fait de néant total on fait demi tour pour emprunter un petit chemin au nord est. Ce sont d'étroit boyaux qui partent en Y. de la droite, un vent frais, de la gauche, un vent chaud. On emprunte le couloir de droite, et la pierre devient de plus en plus métallique. Le couloir se rétrécie de plus en plus, le vent se fait plus puissant. ça semble dangereux d'aller plus loin, on fait demi tour pour prendre la voie chaude. C'est a peu près pareil, mais le métal est plus sombre, brossé. On rebrousse chemin pour revenir à l'estomac, et prendre le chemin au nord Le chemin est un peu plus large, et des racines sortent du mur et du plafond, rendant la progression compliqué. On arrive à un nouvel embranchement en Y, le sol est couvert de feuillage vert : le sol est fait de branches et de racine. Le chemin de gauche redescend et semble plutôt étroit. On continue sur le chemin plus large, et les racines laissent à nouveau place à du sol dur. Le couloir est long. Très long. Et au bout, une salle avec une ronde de fantômes de lamproie, qui font une danse complexe, sur une musique en flute de pan. Sur la droite, le couloir donne sur un pont de métal brillant, qui s'enfonce dans les brumes de l'astral. On continue notre chemin, et on arrive à un gros pilier de pierre au milieu du couloir. Il a l'air d'être décoré avec d'autres peintures rupestres, qui représentent de grand palétuviers dans l'eau. Sur la droite, un petit couloir, et face à nous de grande fortifications sur lesquelles il y a des petites bouches de lamproies qui semblent parler, et on distingue des silhouettes en haut des tours. On s'approche : les bouches de lamproie annoncent une nouvelles tempête, et disent “tous aux abris” Les créatures en haut des tours ressemblent à des swurmp avec des ailes de chauve souris. ils nous hèlent. ils ne veulent pas nous laisser entrer, parce que nous sommes corrompus. Je leur demande ou se trouve Shaggath-ka, mais il ne veulent pas nous le dire. On essaye de les inciter un peu, mais les bouches de lamproie annoncent ne invasion de corruption imminente. On part vers le nord. On reste à l'entre du petit chemin, pour regarder ce qu'il se passe du coté des murailles. Les Swurmp ont leur attention portée de l'autre coté. On continue vers le nord. A nouveau, le chemin se perds dans la brume argentée de l'astrale, avec jusque quelques plateformes métalliques circulaires. On renvient en arrière, on emprunte le long chemin jusqu'aux racines pour emprunter une petite voie. De ce petit chemin, on entends des voix indistinctes On s'avance pour aller voir. Alors qu'on passe un angle dans le couloir, on tombe nez à nez avec un autre groupe. il est mené par un humanoïde avec une tète de vers noir, qui porte une amulette de ver à tentacule. Derrière lui, des sangsues lombrics qui rampent au sol. Il crie “on va les prendre à revers de l'autre coté de la muraille” Dès qu'il nous voie, il sort une masse d'arme et nous attaque. Epic pare son coup, et lui inflige un coup redoutable. Ipomoea le fait exploser, et il projette son ichor corrompu un peu partout. Epic commence à détruire les sangsues. La dernière s'enfuie, et je la détruit d'une pointe de pierre. Je récupère la masse d'arme corrompue du méchant (1D6+2) On reprend notre route. On arrive sur un couloir plus large. Sur la droite, des pics sur lesquels sont plantés des crânes de créatures variés portant des masques de corruption. entre deux rangées de pics, une zone qui semble piégée. on décide d'aller au sud. Il y a pas mal de marches pour remonter le long du couloir On arrive dans une zone une peu plus large, à nouveau un grand couloir, qui va du nord au sud. Des traces noires sembler aller ou venir du sud. vers l'ouest, après une petite marche, il semble y avoir plein de champignons. Au nord des tas de détritus. On va au sud, et on tombe sur de grosses marques noires au sol, qui sentent la pourriture et le brulé. il y a deux zones comme ça, et ça rappelle un peu l'explosion de l'homme vert tué par Ipomoea. On contourne les zones et on poursuit vers le sud. On voit un grand trou qui s'enfonce vers les profondeurs insondables, et on se retrouve à un endroit déjà visité. on remonte pour aller jusqu'à la salle aux champignons, ou on entendait un cliquetis Dans cette grosse zone pleine de champignon, il y a une mante religieuse géante, couverte de signes de corruption, qui discute avec des champignons humanoïde, avec des lunettes et des carnets je m'approche, salue, la mante religieuse crache comme un chat et disparait. Les champignons cueillent des champignons en forme de boule et nous font signe de les sniffer. Ipomoea s'y colle, et elle peut maintenant produire des spore via des flagelles sur son cuir chevelu Elle en profite pour discuter avec les champignons, qui disent qu'ils cherchent des volontaires pour des tests. On décide de les laisser là et de reprendre notre route. On emprunte un passage au nord de la salle au champignons, qui se sépare en deux couloir, un qui descend, et un autre ou on entends des bruits, des voix et des raclement contre le métal. On prends à droite. On arrive dans une petite salle, ou arrivent trois couloir, au centre duquel se trouve une machine métallique bourdonnante. Elle ressemble à une soucoupe spatiale. Quand je m'approche, je sens une force qui me repousse. J'en fais le tour, de loin, il y a l'air d'avoir des hublots opaques, mais pas d'ouverture. On prends le chemin le plus au nord. On débouche dans un grand couloir, et il y a de nouveau les lamproies fantômes, qui semblent charger des cailloux fantomatique dans une brouette On s'avance un peu à droite, pour voir si on tombe sur la forteresse. Il y a un grand pilier, avec des gravures primitives représentant un vol d'oiseau au dessus d'un marais de roseau. La forteresse est derrière, avec des taches noires, et un couloir part au sud. On reprend le grand couloir pour aller plein ouest. on tombe sur un gros couloir qui part vers le sud, et un cadavre d'une sorte de tyrannosaure avec un seul œil. Son ventre à l'air de bouger. On continue vers l'ouest, en évitant de trop s'approcher du cadavre. on tombe sur un petit point qui enjambe ce qui devait être le lit d'une rivière, ou quelques buissons poussent, et des tâches de mélasse noire sont attaché à la végétation et au sol par endroit. n entends un grondement qui vient du nord, et qui semble s'approcher. On se cache derrière un buisson en attendant de voir ce qui s'approche : des eaux rugissante emplissent le lit de la rivière, couverte d'une couche huileuse, et quand elle se retire au bout d'une dizaine de minutes, il y a un peu plus de mazout. On franchi le pont et on continue vers l'ouest. on passe un petit tunnel au sud, un autre un peu plus large au nord. On continue la voie principale. On tombe sur le lieu d'un massacre de Swurmp à aile de chauve souris. Un chemin qui va au sud débouche dessus, on l'emprunte. C'est un petit tunnel tortueux, qui descend assez profondément. On tombe sur un ours en tenue de cosmonaute Il tient un objet en métal dans la main, et nous demande ce qu'on fait là. Il cherche le docteur Zabong gormontine, un grand type maigrichon et détestable. Il vient de la glorieuse république solaire d'Yx Il nous dit rejoindre sa soucoupe, sa machine qu'on a vu un peu avant, et il cherche un portail spatiotemporel, qu'il nous décrit comme la surface aqueuse qu'on a vu un peu plus tot. Il nous dit que Le chemin sur le que l on est est très long et se perd dans les brumes. On lui indique le chemin du portail, et on fait demi tour pour repartir vers l'ouest alors que lui part vers la droite. On arrive devant une grande statue, une personnification du grand vaseux, mélange d'humain et de lamproie avec une grande couronne. Elle semble faite d'un mélange de cristal et de métal. On repère un petit couloir dissimulé derrière la statue, on l'emprunte. Celui se perds rapidement dans une brume octarine, avec un tuyau de métal qui semble à de l'or. On fait demi tour et on suit de nouveau le grand chemin vers l'ouest, qui donne sur un immense pont de métal qui s'enfonce dans les brimes octarines. On prends un couloir au sud. On arrive sur une grosse porte de roche noire, qui boque le passage, couverte de signes de corruptions Je touche la porte de la masse corrompue : elle se dissipe en fumée, révélant des corridors couverts de glyphes de corruptions On avance en priant, pour se frayer un chemin dans le couloir. On entends des voix qui viennent d'une sale un peu plus loin, qui parlent en noir parler. On arrive ans une salle ou se trouve plein de masses noirâtres informes, qui portent des haillons ou des turban, et qui fait la queue pour entrer dans un couloir à droite. D'autres se massent au sud, mais plutôt pour voir quelque chose. On se dirige vers le sud pour voir ce qu'ils regardent On arrive à une petite fente, une fenêtre qui donne sur une grande salle. Dedans, une étendue d'eau noirâtre, et un scolopendre noire géant, qui reçoit les offrandes des créatures comme s'il donnait audience. On fait demi tour pour aller gruger toute la file d'attente pour rejoindre le scolopendre. on arrive dans une salle qui semble servir d'antichambre avant de rejoindre la pièce du scolopendre.
