Table des matières

Session 39

Marécageuse

On embarque sur le bateau avec Férard et Hyppolite et Azimech. On se mets en route vers l'île de Rand, et en chemin on entends comme un chant, sans trop savoir d'ou ça vient. Férard pointe l'eau, et indique quelque chose en dessous. Avielo remarque alors que les planches et le mat du bateau commencent à pousser, des bourgeons apparaissent dessus. Il semble y avoir un immense arbre sous marin qui brille d'une étrange lueur et d'où vient la chanson. On s'éloigne rapidement, pour éviter que le bateau ne se disloqie. On aperçoit loin au nord un bateau de métal d'ou sort une épaisse fumée. On met le cap sur port Espadon : la ville est dévastée, par au moins un ouragan. Il y a une longue trainée noire au travers de la ville. Elle rappelle un peu la trace sur l'île de la patte de chat. On débarque ici.

Port Espadon

Les ruines ont déja été pillées, probablement il y a plusieurs années. On trouve des marques sur des bâtiments, des graffitis, a la peinture ou gravée, qui sont en général des insultes envers la Martel. En fouillant chez Matthias, il y a une lettre clouée sur un poteau, et ça a l'air plutot récent. C'est une lettre de Zilbee, qui s'adresse à Matthias, en lui disant de la retrouver près de la pleureuse, elle y passera une fois par jour. Elle dit qu'il faut “les arr^ter”. Il y a une adresse “RR-18” On pense à l'église de la nouvelle foi, ou il y a une statue de Sainte Astrid, pleurant et pleine de couteaux. On a trouvé une carte ans une cabane, ou on repère quelques points clefs de l'île !: RR-18 est en plein milieu. On s'intéresse à la trace noire : c'est comme si quelque chose avait atterrit et était reparti. Peut être une attaque de néant. A l'église de la nouvelle Foi, on voit qu'elle a été baricadée, et quelqu'un a peint sur la grande porte : Dieu nosu a abandonné. On arrache quelques planches pour entrer à l'intérieur. L'intétieur de l'église a été débarrassé de ses banc, mais la statue de saint Astrid y trône encore. Un liquide sombre semble avoir coulé des plaies de la statue, avant de sécher.

Tumulus Elfique

Rien d'autre intéressanton se mets donc en route vers RR-10. Férard, Hyppolite et Azimech restent ici pour rétablir une cabane, au cas ou d'autres survivants passerient. La chaleur est étouffante, il y a des racines partout, et on avait oublié ces difficultés après notre passage au purgatoire. Epic repère une espèce de très gros lézard a la carapace de pierre qui avance lentement, laissant une trace dans la for^pet. il fait près de 5m de long. On le contourne, et on poursuit notre chemin vers RR-18.

La Pleureuse

La végétation y est un peu moins dense, le terrain un peu plus rocailleux. On voit des sentes d'animaux et d'autres traces de vie. Au détour d'un rocher, il y a les restes d'un feu de camp, avec des os de phacochère non loin. Vu les traces autorus du feu, les personnes devaient être très grandes, probablment 3-4mde haut. ça pourrait être des ogres, trois ou quatre. On fini par arriver vers 20h à un endroit avec beaucoup moins d'arbre, avec une femme en train de pleurer, et alors qu'on s'approchait, on a vu un éclair tomber du ciel, et on entends des bruits de combat. Quand on arrive, c'est le chaos : On entends des cris, un rugissement, des bruits de métal contre le métal. Un nuage de poussière qui arrive jusqu'à nous se dissipe peu à peu quand on passe l'orée : la zone est désolée et peu propice à la vie. Devant la statue, il y a les deste d'une bataille qui n'a pas du durer longtemps, mais qui a été mortel. Des espèce de golems bleutés sont en train de se déplacer, et parmis les corps, certains bougent encore, tout le monde n'est pas mort. Une grosse bête, qui ressemble à un paresseux géant, une arme plantée dans la tête, tiens entre ses pattes un homme qui a l'air de se démener comme il peut. Une femme, salement amochée, est en train de ramper dans sa direction, faisant paniquer l'homme Près de certains cadavres, il y a des trous dans le sol, comme si quelque chose s'était effondré. Ons 'approche rapidement : les silhouetets bleues sont des femmes golem, qui semble contenir un liqude inconnu. Elle se déplace avec des mouvements fin, comme si elles étaient perdues ou en état d'ébriété. Lorsqu'il nous voit, l'homme dans les pattes du paresseux de mets à hurler pour qu'on l'aide. La femme qui rampe vers lui a des couteux qu'elle utilise pour avancer, en les plantant dans le sol. La femme au sol est probablement une ogresse, coupée en deux. Les cadavres au sol regroupent des humains et des ogres : certains sont des pirates, comme l'homme entre les griffes du paresseux, il y a des hommes lézard verts, quelques personnes avec de grande capuche; et quelques caavres d'ogres. Ipomoea se téléporteà coté du paresseux, alors que je mrapproche de la scène. Elle libère l'homme, sous les imprécations de l'ogresse. Je me rapproche de l'ogresse. Je lui propose de la soigner si elle ne tue pas l'homme : elle accepte. J'appelle Avielo, qui la stabilise. Ipomoea interroge le pirate : il parle d'une attaque d'homme lézard, et d'un grand singe. Et aussi d'une ogresse. Il fait partie des “manchots”, et pas de l'équipage de Seera. Les pirates étaient là pour chercher quelqu'un leur ayant volé du matériel. Ils l'ont vu rencontrer quelqu'un ici, le capitaine à décidé de passer à l'attaque, et des gens ont attaqué de partout. Le capitaine aurait survécu et serait entré dans un des trous : a priori, les femme bleu quand elle éclatent répandent de l'acide L'ogresse nous dit qu'elle avait rendez vous ici, mais ils ont été trahis. La cheffe est partie à sa poursuite. Elles devaient rencontrer un humain, qui avait des plans pour aider les ogresses contre la Martel. Il s'agissait de matthias. D'après elle, les gens encapuchonnés appartiennent la martel, et son surnommé les sans visage. Je retoure un corps pour confirme : il est entouré de deux gros babouins mort et un humain. Le type à la capuche à dut sortir un carreau 'arbalète de sa cuisse, et l'a utilisé pour tuer les deux babouins et le type avant de mourrir. Sous sa capuche, c'est peu réjouissant : on lui a écorché le visage; J'interroge l'ogresse sur le fait qu'il y avait plus de femme normaement : elles disent qu'elles sont indépendantes et ne font pas partie des clans. Elles ont découvert que leurs vies ont été effacées pour qu'elles servent de reproductrices, et qu'elles n'étaient pas des ogres, et elles ont été changées par un rituel. Je fais le tour des corps, pour voir s'il y a d'autre sruvivants. Le paresseux est devant un gros trou, peut être son terrier. iL a l'air plutot âgé, et il est percé, lacéré, transpercé. Il a une énorme arme planté dans le front, en bois et en pierre. D'après Avielo, il est sauvage, et habitait dans le terrier. A priori il ne devrait pas y en avoir d'autre, peut être son partenaire. Non loin du corps du paresseux, deux cadavres embrochés par une lance : un babouin semble s'être jeté sur un pirate alors qu'il avait déja une lance dans le corps, et il a embroché le pirate avec. Autours de deuxpierres empilées, il semble y avoir plusieurs léazrd morts ici. Il y a un trou dans la terre, comme si le sol avait été ouvert par l'acide. Un a été tué par un automate. Par le trou, il me semble boir une sorte de cavité maçonnée triangulaire, qui correspond aux traces qu'on voit, qui forment un qadrillage de triabgles sur toute la zone. Un autre homme léazard s'est pris une dague en métal dans le visage. Elle est marqué d'une M finement gravé, probablement de la Martel. Un homme lézard semble mal en point mais encore en vie, près d'un babouin. On prévient Avielo, pour qu'il puisse le stabiliser. Un babouin a pris une machette entre les yeux, il est mort sur le coup. La machette a été lancée très fort, et avec beaucoup de précision, peut être une ogresse; Un corps à peu à l'écart près de la statue : son corps semble avoir été piqué à mort par des abilles ou autres insectes. C'est un pirate, qui porte n collier fait de tête d'araignées séchées. Les hommes lézard sont verts et non tatoués, donc des Goa. Elle est morte d'une machette dans le flanc. Juste en dessous c'est une ogresse, tuée par l'éclair. Un peu à l'écart, un corps de babouin tué par l'explosion d'un automate, cela dit le haut de son corps est empalé par une lance. On entends une voix rocailleuse qui vient du trou, qui dit “tire, tombe pas”. A l'aide d'une corde, on sort un orang outang du trou. Il insiste sur le fait qu'il est pas tombé, et il veut protéger le chef. Il a un ou des masques. Il venait pour le commerce. Dent-Dent, l'orang outang ,veut absolument retrouver son chef, et veut rentrer dans le tunnel du paresseux. A priori, dent dent devait aussi protéger une cargaison : les automates en verre. Leur chef venait commercer. A l'écart du combat, il y a un babouin a moitié dissous qui essayais de s'extraire d'un trou. Pas loin du cadavre du paresseux, il a un homme encapucohonné qui 'est fait trancher proprement 5 artères. Il a mis du sang partout. On se dirige enfn vers un gros groupe de cadavre. Un peu en dessous, il y a un gorille qui a le crane écrasé. A coté e lui, un type de la Martel et un pirate, qui se sont mutuellement embroché. Le type de la Marel s'est pris un co up dans une artè_re, puis a étrangé le pirate qui le lardait de coups. Dépassant de ses robes, il ya un paquet entreouert qui contient une poudre bleue. Au sud ouest, trois personnes : une Goal, un Pirate et un Ornag Outang, au milieu d'une flaque de sang. Quelqu'un a éventré l'orang outang. Puis le pirate a glissé sur les entrailles et est tombé. Une goa a tué le pirate en lançant un javelot à pointe d'obsidienne. La Goa s'est fait trancher une artère. Au sud des pierres empilées, une ogresse morte, près de laquelel l'ogresse qu'on a sauvé a ramené l'autre cadavre et essaye de les bruler. Elle n'a pas de blessure apparente, et le cadavre est resté en position accroupie, comme s'il était très rigide. Elle tient dans sa main un bout de papier, peut être une carte. L'ogresse qu'on a sauvé s'appelle Mange Chien. L'ogresse morte s'appelle Imoea, tuée par une fléchette qui se trouvait dans le coffre. Je demande à Mange chien de retirer la carte de la main d'Imoea pour nous le donner : c'est pas une carte, c'est un texte. On va voir le plus gros groupe de corps, les plus proches de la statue. IL ya un babouin qui a écrasé à main nue la tête d'un pirate, mais s'est pris un carreau d'arbalète dans la gorge de la part du pirate. En dessous, un pirate à genoux à coté d'une lance, son armure a été coupé en même temps que son ventre, il essayait de retenir ses organes. Un de ses yeux semble être en résine. AA leur droite, une pirate sur le dos, une lance l'a transpercée et clouée au sol. C'est comme si le manche de sa lance avait été cassé d'un coup de dent. La lettre est adressée à Matthiasµ. A priori les ogresse devait lui amener un piège, déja armé. ça parle d'un point de rendez vous à chque nouvelle lune près du visge élimé à la sortie des tunnel, et c'est signé Zeb. On décide de réviller la Goa, pour essayer de lui parler. Elle reprends conscience, et fait un bond en arrière et sors les armes. On lui dit qu'on vient en paix, dans toutes les langues qu'on connait. Elle n'a pas l'air de comprendre, recule un peu. Je me présente, mais elle ne réponds pas. Elle fini par s'enfuir, après un regard pour une autre Goa, un Makabe en main et un tissus autours du bras. Ipomoea a vu quelque chose qui brillait dans le terrier du paresseux, on décide d'aller y jeter un coup d'oeil.

Terrier

Le terrier s'élargit assez rapidement, sur les parois il y des glyphes lumineux. C'est comme s'ils étaient projetés depuis le centre et qu'ils tournaient sur les murs. ça sent mauvais dans le terrier, le paresseux semble s'y être fait un nid. Les glyphes sont projeté depuis une sorte de déchirure dans l'espace. C'est très magique. Les glyphes semblent être de la magie primordiale, comme si la réalité essayait de se soigner, comme si quelque chose de très puissant avait traversé la réalité. Trois tunnels partent du terrier. on emprunte celui au nord ouest. Le tunnel est long. Très long. Il amène à une petite salle avec plusieurs embranchements. A travers la terre compacté, il semble y avoir des grosses pierres plus solides, probablement entre des espaces maçonnés. On prends le tunnel de gfauche, permettant de voir les briques de la construction. Elles ont l'air plutot chancelantes. On pousse sur les briques pour passer le mur. On tombe sur un escalier en colimaçon. il semble y avoir une salle juste en dessous, qui est le niveau le plus bas. Montant de la salle du bas, il y a un tuyau noir qui passe dans les escaliers, qui relie la salle du bas à celle du haut. Il n'y p as de bruit, mais une espèce de grattement dans celle du haut. Du coup on monte.

Boudoir salin

On arrive dans une salle triangulaire, Elle est remplie de vignesel. Au milieu, il y a une personne, qui doit être une sorte d'élémentaire, une femme toute en pointe, cristalline, qui nous tourne le dos. C'est son pieds qui produit le grattement en frottant contre une racine. On la salue, elle sursaute puis se tourne vers nous. Elle s'appelle Navidorine. Elle dit que c'est le tombeau de sa reine. Elle était appelée “la Reine de Feu”. ça doit faire plusieurs millénaires qu'elle est là : elle nous demande ce que sont devenus les hommes serpents. Elle sous entends qu'il y a eu des gens enfermé ici. Elle est une des gardiennes e ce tombeau. Elle n'était qu'une modeste femme de chambne. C'est une Dryade de Sel. Elle n'a pas de carte du complexe, mais il y en a une dans ue des salles, à l'ouest d'ici. Elle nous recommande d'éviter de causer des tracas, ou elle devra nous faire sortir. On prens la porte à l'est, celle de louest étant bloquée par la vignesel. Une lourde porte bloque le passage, sur laquelle il y a un triangle avec des cylindes rotatifs. Un cylindre représente une bête, l'autre un homme en train de courir, et un autre un arbre. Celui du milieu représente des tourbillons. Naviorine ne connait pas le code. On tente un truc, et la porte se déverouille. On tombe dans une salle en piteux états : il y a un trou au plafond et des entrailles de babouin.

Bibliothèque

ça devait être une sorte de bibliothèque, mais après l'explosion d'acide c'est un peu compliqué. IL y a des étagères avec de gros livres aux couvertures de bois sombre. Les étagères ont l'air d'avoir abimée, comme si une grosse créature les abaient machouillées. A y regardé de plus près, les pages des livres semblent être en céramique. AU sud est, il y a l'air d'y avoir une déchirure dans la réalité également. Sur les livres, il y a des runes, semblables à celle des anciens. Ipomoea téléporte un livre, mais les pages en céramiques, fragilisées, se fracturent. A l'intérieur, ça a l'air d'être des poèmes. Au nord de la salle, caché derrière les étahère, un tunnel d'accès mène au réseau du paresseux. On prends la porte du sud. On tente la même combinaison, et la porte s'ouvre. La salle est illuminée, et il y a des 6 piedestaux avec une orbe, à peu près à hauteur de poitrine pour une humain. Un des piedestal est vide. La maçonnerie est abimée dans les coin est et ouest de la pièce. Les orbes ressemblent à des explosions extrêmement lentes. Elles semblent contenir quelque chose d'boscur au centre. On se dirige vers la porte ouest. On saisi la même combinaison, et on tombe dans une salle qui comporte une grosse machine, avec du verre et de la lumière un peu partout. IL y a des apparitions colorées autours, qui nous regardent entrer d'un air étonné. Elles semblent avoir toutes arrêté ce qu'elle faisaient alors qu'on entre.